Née en 1951, Patricia Bellot avait décidé de devenir juge pour enfants après avoir lu Chiens perdus sans colliers de Gilbert Cesbron. Elle est finalement devenue prof, un métier qu’elle adore et qu’elle devra bientôt quitter. Curieuse de nature et impulsive, elle adore voyager à travers la planète, mais aussi à travers le monde artistique : après s’être essayée à la sculpture, elle a tenté et tente toujours d’apprivoiser les portraits au pastel. Elle s’est aussi donné comme défi de monter sur les planches et depuis quelques années, elle a découvert le plaisir parfois douloureux, mais toujours magique de l’écriture, elle qui ne compte plus les heures passées à lire et à transmettre aux jeunes le goût de la lecture. Plaisir certes, mais gêne aussi, car même si elle se considère comme une femme libérée, elle trouve que les mots sont de sacrés garnements qui n’ont pas leurs lettres en poche. Dire ou ne pas dire ? Ils ne se posent pas la question.
Chez Ker, elle a participé au recueil collectif Achève-moi : passage à l'acte, initié par la province de Liège dans le cadre d'un concours bisannuel.
